Récement, j’ai lu dans la presse canadienne que les refugiés syriens arrivés sur le sol canadien il y a 1 an, éprouveraient des difficultés d’intégration.

Néanmoins, la situation des refugiés sponsorisés par le gouvernement est differente de celle des refugiés sponsorisés par les entreprises privées. En effet, ce dernier groupe semblerait s’être mieux intégré à leur pays d’accueil que le premier.

Les raisons des problèmes d’intégration de ces personnes sont connues par le gouvernement, à savoir le manque de connaissance des longues officielle du Canada, l’incompatibilité de leurs diplômes d’études, ainsi que la carence de formation des femmes.

En effet, l’etat semblerait avoir sousestimé ce problème, malgrè le fait que certaines ONG avaient manifesté publiquement les besoins d’entâmer un plan d’action plus engagé. Cependant les entreprises privées ont agi différent en conférant du support aux réfugiés, leur permettant d’effectuer une formation dans le but de faciliter leur intégration.

Bien que le gouvernement ait reconnu son échec lors de la dérnière année, la solution envisagé par les autorités fédérales et provinciales se limite à rendre le système de reconnaissanses et d’homologation des études plus flexible.

La difference de ces stratégies reflète la manière dont dans notre societé, il est possible d’analiser un même problème de deux points de vue differents.

Malgré le temps écoulé pour agir (depuis la prise de conscience du problème par l’etat), il est heureux de saluer sa volonté d’améliorer la situation des refugiés.